La correction des erreurs dans les RAM dynamiques. (1981-1982)
Cette technique permettait d'utiliser des boitiers déclassés ou de résoudre le problème
des erreurs générées par les particules alpha. Les ceramiques des boitiers n'étaient pas assez pures,
et après de très longues études, on s'est apercu qu'il y avait des restes de (thorium?) qui émettaient
des particules alpha, ce qui perturbait les puces.
J'en avais marre de wrapper des grosses quantités de mémoires... Une solution gratte ciel était intéressante!
Mais, il fallait pouvoir effectuer une maintenance. D'où l'utilisation des supports...
Le changement d'une puce n'était quand même pas facile!
Vous vous doutez bien qu'auparavant (1975?), je soudais les puces directement les unes sur les autres.
Mais en cas de panne, une vraie galère!
Je vous présente ici 2 versions (1979-80): une avec des 2114 et une autre avec des 6514 (pour faire de la rétention)
Les chips sont donc des 1k x4 (cmos pour les 6514)
Pour ceux qui vont dire: bof c'était facile! je rappelle qu'une pin d'adresse fait 5pF de capacitance
et qu'une pin i/o en fait 10pF. Quand vous avez 128 chips cela fait 640 pF, et qu'une telle capacitance
requière des buffers sérieux du genre 8T97 (Ad) et 8T26/28 (data)...